Mickaël BRADY (Plumpe) débute en 1982 au cirque danois Arena. Il est assistant de Wendell Huber.
En 1987, au cirque Embell-Riva, il présente 8 éléphants (5 asiatiques et 3 africains), mais aussi les exotiques et les chevaux. C'est à la fin de cette saison-là qu'il choisit de venir au Cirque Pinder-Jean Richard.
Bientôt 30 ans !
Une interview d'Info-Chalon.com (2014) lui donne la parole :
"Saba et Delhi sont deux éléphantes un peu capricieuses parfois. Saba fait toujours bien son travail mais elle ne fera jamais plus qu'il n'en faut. Pas de prouesse, pas d'éclat.
Delhi, quand elle ne veut pas travailler, elle refuse d'entrer en piste, ou bien elle entre et puis s'arrête !
Elles m'en font voir de toutes les couleurs. Elles sont comme deux grands enfants".
mardi 5 avril 2016
Jimmy FOLCO (photos de Patrick Le Moullec)
Jimmy FOLCO a trouvé sa place d'auguste indépendant dans le monde du cirque.
Il renouvelle ses entrées ce qui lui permet de revenir régulièrement dans certains lieux.
Un article le concernant a déjà été publié ICI.
Patrick l'a photographié au Cirque de Noël de Quimper (Evénement Cirque), en 2014.
Il renouvelle ses entrées ce qui lui permet de revenir régulièrement dans certains lieux.
Un article le concernant a déjà été publié ICI.
Patrick l'a photographié au Cirque de Noël de Quimper (Evénement Cirque), en 2014.
Avec Marie Delorme
Jef ODET (photos de François Dehurtevent)
Jef ODET : co-fondateur et directeur artistique du Cirque Farouche Zanzibar, auteur-compositeur, interprète, metteur en scène et acrobate.
S'est formé au CNAC. Défend ce qu'il appelle le cirque d'auteur. Comme pour nombreuses compagnies de cirque contemporain, le Cirque Zanzibar a beaucoup voyagé à l'international avec ses dernières créations Sang et or et Blast.
Jef ODET dit que les artistes qui composent la troupe sont les meilleurs dans leur domaine, que nombreux sont ceux qui ont fait des séjours au Cirque du Soleil.
Il semble que l'univers onirique et burlesque soit très présent. En tout cas, Jef ODET en matrone est une figure étonnante.
Un critique a écrit à leur sujet :"Il est des présences sulfureuses, brutales et magnétiques qui hantent le souvenir bien au-delà d'une prouesse circassienne".
Ceci donne envie de les voir.
Avec Rafik Tlijani.
S'est formé au CNAC. Défend ce qu'il appelle le cirque d'auteur. Comme pour nombreuses compagnies de cirque contemporain, le Cirque Zanzibar a beaucoup voyagé à l'international avec ses dernières créations Sang et or et Blast.
Jef ODET dit que les artistes qui composent la troupe sont les meilleurs dans leur domaine, que nombreux sont ceux qui ont fait des séjours au Cirque du Soleil.
Il semble que l'univers onirique et burlesque soit très présent. En tout cas, Jef ODET en matrone est une figure étonnante.
Un critique a écrit à leur sujet :"Il est des présences sulfureuses, brutales et magnétiques qui hantent le souvenir bien au-delà d'une prouesse circassienne".
Ceci donne envie de les voir.
Avec Rafik Tlijani.
KNIE 2015, le dernier album de Thierry Bissat
Comme je l'ai indiqué dans un précédent article, notre ami photographe suisse Thierry BISSAT publie chaque année un album de ses meilleures photos du Cirque KNIE (dont il est par ailleurs un contributeur régulier d'images). Voir l'article en question ICI.
Depuis 2008 donc, tiré à quelques exemplaires, un petit bijou d'album d'une centaine de photos voit le jour.
Ci-dessous 2015, le spectacle "Phénoménal".
Une riche documentation dans un album cartonné de 28x28 cm.
Il faut compter 90 € pour l'album.
Depuis 2008 donc, tiré à quelques exemplaires, un petit bijou d'album d'une centaine de photos voit le jour.
Ci-dessous 2015, le spectacle "Phénoménal".
Il faut compter 90 € pour l'album.
Sandro MONTEZ (photos de François Dehurtevent)
Sandro MONTEZ (Krämer) est depuis 2014 au Cirque Pinder où il a en charge la ménagerie.
Il fait partie d'une 5e génération de circassiens. Son père Francesco avait un numéro de fakir.
Il arrive très jeune au Cirque Barum de Gert Siemoneit où il apprend son métier avec toutes les espèces animales que l'on voit au cirque.
Son crédo : "Par la force, on n'obtient rien. Seuls ceux qui aiment sont aimés".
Après ses dix-huit ans, il quitte Barum (il y reviendra) pour Krone où il reste six années (éducation-dressage des chevaux).
Il fera des séjours chez Alexandre Bouglione, Charles Knie, Arlette Gruss, notamment.
C'est au Cirque Pinder que François a pris ces photos, en 2014.
Il fait partie d'une 5e génération de circassiens. Son père Francesco avait un numéro de fakir.
Il arrive très jeune au Cirque Barum de Gert Siemoneit où il apprend son métier avec toutes les espèces animales que l'on voit au cirque.
Son crédo : "Par la force, on n'obtient rien. Seuls ceux qui aiment sont aimés".
Après ses dix-huit ans, il quitte Barum (il y reviendra) pour Krone où il reste six années (éducation-dressage des chevaux).
Il fera des séjours chez Alexandre Bouglione, Charles Knie, Arlette Gruss, notamment.
C'est au Cirque Pinder que François a pris ces photos, en 2014.
Frédéric EDELSTEIN (photos de François Dehurtevent)
Frédéric, le fils de Gilbert et Andrée EDELSTEIN, patrons du Cirque Pinder, a d'abord fait des études avant de vivre pleinement le cirque. Mais il profitera toujours des vacances scolaires pour soigner les fauves du cirque, notamment les tigres.
Pour bien apprendre le métier de dresseur de fauves, Frédéric EDELSTEIN (1969) sera conseillé par deux spécialistes de renom : Wolfgang Holzmaïr et Dick Chipperfield. Il montre toujours beaucoup d'audace et de témérité dans la cage.
Personne ne contredira qu'il présente actuellement un superbe numéro de fauves, un des plus beaux qui soit, constitué d'une douzaine de lions blancs, sous lesquels il se couche d'ailleurs.
François l'a photographié sous le chapiteau Pinder en 2014.
Pour bien apprendre le métier de dresseur de fauves, Frédéric EDELSTEIN (1969) sera conseillé par deux spécialistes de renom : Wolfgang Holzmaïr et Dick Chipperfield. Il montre toujours beaucoup d'audace et de témérité dans la cage.
Personne ne contredira qu'il présente actuellement un superbe numéro de fauves, un des plus beaux qui soit, constitué d'une douzaine de lions blancs, sous lesquels il se couche d'ailleurs.
François l'a photographié sous le chapiteau Pinder en 2014.
Natascha WILLE-BUSCH (photos de Jean-Claude Cavier)
L'histoire du Cirque Carl Busch n'est pas linéaire. Le nom Busch a fini par se transmettre parce qu'il a représenté la qualité pendant des années mais il faut savoir que les propriétaires actuels n'ont aucun rapport avec ce nom, même s'ils rajoutent le terme Busch à leur patronyme.
Pour la période récente, retenons ceci. Au début des années 80, un directeur de cirque nommé Alfred Scholl achète le nom Carl Busch à un certain Carl Stelzemüller qui se dit fils illégitime de Jacob Busch. Il a monté une petite structure du nom de Carl Bush mais est empêtré dans des procès que lui font les héritiers du nom.
Scholl vend le cirque Carl Busch à Alfons Wille(am) (1941-2009). A la mort de ce dernier, c'est sa femme Marion Wille qui gère l'entreprise que l'on connaît aujourd'hui. Une réussite, apparemment.
Natascha WILLE (1975) est la fille d'Alfons et Marion WILLE.
Comme tout enfant de cirque, Natascha a appris les techniques acrobatiques lui permettant d'entrer en piste, mais "je voulais faire un métier d'homme", dit-elle.
C'est ainsi qu'on peut la voir présenter les chevaux sur la piste de son cirque.
Jean-Claude a vu le spectacle du Cirque Carl Busch en décembre 2015.
Pour la période récente, retenons ceci. Au début des années 80, un directeur de cirque nommé Alfred Scholl achète le nom Carl Busch à un certain Carl Stelzemüller qui se dit fils illégitime de Jacob Busch. Il a monté une petite structure du nom de Carl Bush mais est empêtré dans des procès que lui font les héritiers du nom.
Scholl vend le cirque Carl Busch à Alfons Wille(am) (1941-2009). A la mort de ce dernier, c'est sa femme Marion Wille qui gère l'entreprise que l'on connaît aujourd'hui. Une réussite, apparemment.
Natascha WILLE (1975) est la fille d'Alfons et Marion WILLE.
Comme tout enfant de cirque, Natascha a appris les techniques acrobatiques lui permettant d'entrer en piste, mais "je voulais faire un métier d'homme", dit-elle.
C'est ainsi qu'on peut la voir présenter les chevaux sur la piste de son cirque.
Jean-Claude a vu le spectacle du Cirque Carl Busch en décembre 2015.
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